Hervé Vilard
LE LAC DES BRUMES


Plus jamais de lac des brumes, Wagner plus jamais
Pasolini au clair de lune je m'en souviendrai
C'est un amour en costume de dire comme je t'ai aimé
Quand les musiciens sont étranges la symphonie est sacrée
Oui je sais le monde change qu'est ce que je m'en fou
Les histoires d'amour mélangent les fleurs aux bijoux
Il y a des gens que l'amour dérange et moi je t'ai aimée
Bien sur tu n'étais pas un ange mais je t'ai vu t'envoler

Qui qui a tiré sur cet oiseau
Quel est le nom de ce salaud
Ne plus jamais dire je t'aime
Juste en secret si tu m'aimes
Qui a tiré sur cet oiseau
Tous les assassins sont idiots
Qui a maquillé les hommes en larmes
Qui a déguisé nos coeurs de femmes
L'amour n'a jamais volé plus haut

Dans ce paradis perdu donne moi la main
Pour une saison en enfer pour un lendemain
Romantiques, désespérés, passez votre chemin
C'est une résidence privée où on pleure par son chagrin

Qui qui a tiré sur cet oiseau
Quel est le nom de ce salaud
Ne plus jamais dire je t'aime
Juste en secret si tu m'aimes
Qui a tiré sur cet oiseau
Tous les assassins sont idiots
Qui a maquillé les hommes en larmes
Qui a déguisé nos coeurs de femmes
L'amour n'a jamais volé plus haut


À la page des textes d'Hervé Vilard
À la page des textes