Hervé Vilard
L'AMOUR DÉFENDU


C'est pas la peine de se priver d'amour
Je veux t'aimer, pour toi, sans détour
C'est dans tes veines que l'espoir a pris feu
Je lis "je t'aime" là-bas dans tes yeux
J'ai envie de toi debout sur la terre
De survivre avec toi au bout de l'enfer

L'amour ne fait pas l'aumône et sur nos corps il est moi
Même s'il y a un fantôme qui depuis peu fait la loi
Je refuse d'être l'otage du premier baiser qui tue
Et puisqu'on est de passage faisons l'amour défendu

Aimons-nous comme deux mômes qui ne savent rien de tout cela
Et j'ai la clé du royaume quand je te tiens dans mes bras
Moi je me fous du sursis et des frontières à franchir
Je t'aime d'amour et tant pis si je devais en mourir
Je ne connais rien de plus beau que l'appel de ta peau

Tant que tu m'aimes dans ce jardin maudit
Je m'y promène, heureux, coeur ouvert
Et tu m'entraînes à l'amour interdit
Y'a rien à faire, je t'aime, tout est clair

L'amour ne fait pas l'aumône et sur nos corps il est moi
Même s'il y a un fantôme qui depuis peu fait la loi
Je refuse d'être l'otage du premier baiser qui tue
Et puisqu'on est de passage faisons l'amour défendu

Aimons-nous comme deux mômes qui ne savent rien de tout cela
Et j'ai la clé du royaume quand je te tiens dans mes bras
Moi je me fous du sursis et des frontières à franchir
Je t'aime d'amour et tant pis si je devais en mourir

Aimons-nous comme deux mômes qui ne savent rien de tout cela
Et j'ai la clé du royaume quand je te tiens dans mes bras
Moi je me fous du sursis et des frontières à franchir
Je t'aime d'amour et tant pis si je devais en mourir
Je ne connais rien de plus beau que l'appel de ta peau
Que l'appel de ta peau


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