Nicolas Peyrac
RIO, RIO


Rio, Rio
Rio, Rio
Tu ressembles à Rio
Tu as le sang si chaud
Que tu m'as mis la fièvre sous la peau
Rio, Rio
Rio, Rio
Je vais mourir bientôt
Dévoré par les flammes
Qui brûlent pendant ton carnaval

Toutes les maîtresses, toutes les femmes
Toutes les amantes que j'ai eues
Toutes les princesses, toutes les dames
Celles que l'on montrait du doigt dans la rue
Toutes les fidèles, les infidèles
Les sincères, les intéressées
Tu peux me croire aucune d'entre elles
Ne t'avait jamais ressemblé
Mais,

Rio, Rio
Rio, Rio
Tu ressembles à Rio
Tu as le sang si chaud
Que tu m'as mis la fièvre sous la peau
Rio, Rio
Rio, Rio
Je vais mourir bientôt
Dévoré par les flammes
Qui brûlent pendant ton carnaval
Toutes les folies qu'elles m'ont fait faire
Me laissaient froid comme l'ennui
Et plus elles s'entouraient de mystère
Plus je m'en lassais après quelques nuits
Mais toi tu m'enroules et tu m'emportes
Je ne sais plus comment je vis
Il va pourtant falloir que j'en sorte
Sinon je vais perdre la vie
Mais

Rio, Rio
Rio, Rio
Tu ressembles à Rio
Tu as le sang si chaud
Que tu m'as mis la fièvre sous la peau
Rio, Rio
Rio, Rio
Je vais mourir bientôt
Dévoré par les flammes
Qui brûlent pendant ton carnaval


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