OryZhein
LA MORT


Le soleil se couche, l'armée est relevée.
Je suis resté là: mutilé, humilié.
Le froid ronge mes os; la nuit, mes pensées.
Mais que faire de moi? Mes frères m'ont déserté.
Maintenant, je ne suis qu'un amas de vie sans vigueur.
Mon esprit divague et je ne vois plus qu'avec mon coeur.


À la page des textes d'OryZhein
À la page des textes