Jean-Jacques Goldman
AÏCHA



Si douce, si belle
Chaque jour comme une reine sur son trône
Personne ne sait ce qu'elle ressent
Un jour Madame Aïcha ce sera réel
Elle se déplace, elle se déplace comme une brise
Je le jure je ne peux la faire sortir de mes rêves
Pour qu'elle rayonne à mes côtés
Je sacrifierais toutes les larmes de mes yeux

REFRAIN:
Aïcha, Aïcha, passe près de moi (et la voilà à nouveau)
Aïcha, Aïcha, la mienne, la mienne, la mienne, la mienne (est-ce vraiment réel?)
Aïcha, Aïcha, souris-moi maintenant
Aïcha, Aïcha, dans ma vie

Elle tient son enfant contre son coeur
On a l'impression qu'elle est bénie des dieux
S'endort sous ses larmes douces
Sa berceuse s'envole au loin avec ses peurs
Oh...

Aïcha, Aïcha, passe près de moi
Aïcha, Aïcha, la mienne, la mienne, la mienne

Elle a besoin de quelqu'un sur qui compter
Quelqu'un de corps, d'esprit et d'âme
Pour prendre sa main pour prendre son monde
Et lui montrer la période de sa vie, si vraie
Se débarrasser de la douleur pour de bon
Sans contemplation, booo

Le Seigneur sait ce qu'elle ressent
Elle commence chaque journée en son nom
Pour qu'elle rayonne à mes côtés
Je sacrifierais toutes les larmes de mes yeux
Aïcha, Aïcha, écoute-moi

REFRAIN


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