Claude François
VIENS À LA MAISON



Dis, ça fait combien de temps
Que tu n'as pas vu un peuplier, une fleur des champs?
Si tu as quelques chagrins,
Pour les oublier, il y a toujours une gare, un train.
Change de ciel, viens voir la terre,
Voir le soleil et les rivières.

Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Les pommiers sont en fleurs, ils berceront ton coeur,
Toi qui es tout en pleurs, ne reste pas dans la ville.
Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Près des grands étangs bleus et dans les chemins creux,
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.

Le premier vent du matin sera ton ami
Quand tu iras t'asseoir au jardin.
Et puis le temps passera et tu me diras
"Tout mon passé, il est loin déjà".
Tu ouvriras une fenêtre,
Un beau matin, tu vas renaître.

Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Les pommiers sont en fleurs, ils berceront ton coeur,
Toi qui es tout en pleurs, ne reste pas dans la ville.
Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Près des grands étangs bleus et dans les chemins creux,
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.

Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Les pommiers sont en fleurs, ils berceront ton coeur,
Toi qui es tout en pleurs, ne reste pas dans la ville.
Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Près des grands étangs bleus et dans les chemins creux,
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.

Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Les pommiers sont en fleurs, ils berceront ton coeur,
Toi qui es tout en pleurs, ne reste pas dans la ville.
Viens à la maison, y'a le printemps qui chante.
Viens à la maison, tous les oiseaux t'attendent.
Près des grands étangs bleus et dans les chemins creux,
On ira tous les deux oublier ce rêve facile...


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