Damia
SOMBRE DIMANCHE

Paroles: Jean Marèze, François-Eugène Gonda, musique: Seress Rezs, 1936


Sombre dimanche... Les bras tout chargés de fleurs
Je suis entré dans notre chambre le coeur las
Car je savais déjà que tu ne viendrais pas
Et j'ai chanté des mots d'amour et de douleur
Je suis resté tout seul et j'ai pleuré tout bas
En écoutant hurler la plainte des frimas...
Sombre dimanche...

Je mourrai un dimanche où j'aurai trop souffert
Alors tu reviendras, mais je serai parti
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts
N'aie pas peur, mon amour, s'ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie
Sombre dimanche.


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