Alain Barrière
LAMENTO



S'il revenait de faire en moi le bilan
De voir ce qu'il reste de mes rêves d'enfants
Je vois qu'a tout prendre il me viens un regret
Ce droit ce pouvoir que personne jamais
Oui cette vie la qu'un jour qu'on m'a concéder
A deux être moins j'aurais voulu la donner
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Passant par l'Espagne j'aurais voulu dire encore
Un dernier adieu au merveilleux matador
Celui que j'aimais ne jouait pas de l'épée
Il chantait l'Espagne et les nuits chaudes et l'été

Que part les montagnes se répercute l'écho
Lors de la musique rentre la fée des Rico
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh

J'avais un ami de l'autre côté des mers
L'un des derniers juste il allait droit le front fier
Mais dans ce monde fou dès qu'une étoile paraît
Cela suffit bien pour qu'ion l'éteigne a jamais

Quand le berger tombe piétiner par les brebis
Vois que nos mains tremblent a Johnny John Kennedy
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh

Tout cela n'est rien si déjà je pouvais croire
En nous demain sans me raconter d'histoire
Mais mais s'il fut des hommes donc la sagesse étonnait
Notre pauvre monde s'en éloigne a jamais

Et la guerre dur a tout ce que l'on m'a dit
Depuis temps de siècle mais y'on n'a donc rien compris
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh


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