Salvatore Adamo
OUI LA MER A BERCÉ TANT D'AMOUR DANS LE CREUX DE SES VAGUES LE TEMPS D'UN ÉTÉ


Tu t'en vas ma pauvre amourette
Tu t'en vas, mes sène ne trompent pas
Oui la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues le temps d'un été
Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé tant de rêves oubliés
Un bout de ciel et un coin de dune
Un goût de sel sur ta peau brune
Et l'été qui nous ensorcelle
En l'été méfies-toi la belle
Car la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues le temps d'un été
Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé tant de rêves oubliés
Un coeur laité à fleur d'insouciance
Jamais l'été au chagrin ne pense
Mais tu pleureras petite fleur des plages
Quand l'été chantera sur d'autres rivages
Car le mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues le temps d'un été
Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé tant de rêves oubliés
Oui la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues le temps d'un été
Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé tant de rêves oubliés


À la page des textes de Salvatore Adamo
À la page des textes