Sylvie Vartan
SUR TES LÈVRES
Benjamin Minimum - Sylvie Vartan, 1992


Chaque journée en principe dure deux fois douze heures
De chaque cote de l'atlantique comme sur l'Equateur
Mais près de toi c'est très étonnant
Ce qu'une aiguille peut faire comme tours de cadran
Le temps d'échanger un baiser

Sur tes lèvres pendant des heures
Je peux rester sans respirer
Sur tes lèvres mes larmes meurent
Ton amour les a effacées, sur tes lèvres

Les années sont bissextiles pour notre bonheur
Certains jours sont inutiles et manquent de saveur
Mais près de toi c'est très étonnant
Ce qu'une aiguille peut faire comme tours de cadran
Les heures sont changées en années

Sur tes lèvres pendant des heures
Je peux rester sans respirer
Oui sur tes lèvres mes larmes meurent
Ton amour les a effacées

Si par tes lèvres mes lèvres sont aimantées
L'air est pur dans ton coeur
Notre amour peut bien durer plusieurs milliers d'années

Et tous ces instants magiques ont éloigné la peur
Nos étreintes fantastiques ont regonflé mon coeur
Oui près de toi c'est très étonnant
Ce qu'une aiguille peut faire comme tours de cadran
Le temps d'échanger un baiser

Sur tes lèvres pendant des heures
Je peux rester sans respirer
Sur tes lèvres mes larmes meurent
Ton amour les a effacées
Sur tes lèvres pendant des heures
Je peux rester sans respirer
Sur tes lèvres mes larmes meurent
Ton amour les a effacées
Sur tes lèvres


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