Françoise Hardy
MES JOURS S'EN VONT

1966


Mes jours s'en vont, mes jours près de toi
Je sais bien qu'ils ne reviendront pas
Lorsque tu dors, je me dis parfois
Que là-bas, d'autres peut-être ne dormiraient pas

Mes jours s'en vont, mes jours près de toi
Sans grand chagrin et sans grande joie
Quand tu t'ennuies, je me dis parfois
Que là-bas, d'autres peut-être ne s'ennuieraient pas

Mes jours s'en vont, mes jours près de toi
Mon coeur se fane et voilà pourquoi
Quand tu t'égares, je rêve parfois
D'un là-bas, où quelqu'un d'autre n'aimerait que moi.


À la page des textes de Françoise Hardy
À la page des textes