Julien Clerc
ÉCHAFAUDAGES

David McNeil - Julien Clerc


Moi, la nuit
Quand je m'ennuie
J'emmène un gallon de whisky
Dix ans d'âge
Dans mes vagabondages
Sur les échafaudages...

Moi, la nuit
Quand je m'ennuie
Je prends du saké, du raki
Je voyage
Sans tickets, sans bagages
Sur les échafaudages...

Je vois des gens
Passer sous les enseignes
Qui s'allument et s'éteignent
Comme au cinéma

De ces toits
Où je m'assois
Je t'aperçois
Jamais, toi...

Moi, la nuit
Sous la pluie
Je suis le Tarzan, l'Houdini
Des nuages
Le yéti des étages
Sur les échafaudages...

Moi, la nuit
Quand je m'ennuie
Tu passes jamais par ici
C'est dommage
Tu sais, c'est plus de mon âge
Tous ces échafaudages...

Je vois des gens
Des passants qui s'étreignent
L'inconnue qui ce peigne
Comme au cinéma

De ces toits
Où je m'assois
Je t'aperçois
Jamais, toi

Je vois des gens
Passer sous les enseignes
Qui s'allument et s'éteignent
Comme au cinéma

De ces toits
Où je m'assois
Je t'aperçois
Jamais, toi...

Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages...
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut


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