Francis Cabrel
ROSIE

Jackson Browne - D. Miller - adapt. F. Cabrel


Elle était déjà là bien avant
Que les camions ne viennent,
Elle tournait comme une enfant,
Une poupée derrière la scène.
C'était facile de lui parler,
On a échangé quelques mots,
Je lui ai donné mon passe
Pour qu'elle puisse entrer voir le show.

Elle s'est assise à côté de moi
Sur des caisses de hière
Pendant que je mixais lé son pour le groupe,
Sur la scène en arrière,
Elle les fixait à s'en brûler la peau,
Moi, je la troux ais tellement belle,
Après le dernier morceau,
Le batteur est parti avec elle.

Oh Rosie, tout est blanc,
Tes yeux m'éclairent,
De t'avoir eue un instant,
J'étais tellement fier,
Tout ce qu'il me reste à présent,

L'envie de tout foutre en l'air,
Et de recommencer la nuit...

...Rosie.

Je suppose j'aurais dû deviner,
Qu'elle venait pour les stars,
Et m'empêcher de l'imaginer
Dans mes bras plus tard,
Depuis tout le temps que j'en tremble,
Ce soir quand même j'ai compris,
Faut pas dire à qui je ressemble,
Faut dire qui je suis.

Oh Rosie, tout est blanc,
Tes yeux m'éclairent,
De t'avoir eue un instant,
J'étais tellement fier,
Tout ce qu'il me reste à présent,
L'envie de tout foutre en l'air,
Et de recommencer la nuit...
Recommencer la nuit...
Rosie... Rosie... Rosie... Rosie


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